La vente de l’AS Saint-Etienne au groupe canadien Kilmer Sports Ventures : Bernard Caïazzo revient sur les échecs passés

La mythique AS Saint-Etienne a écrit une nouvelle page historique en retrouvant sa place parmi l’élite du football français.

La remontée triomphale des Verts en Ligue 1

La ferveur des supporters de l’AS Saint-Etienne n’aura jamais faibli, même face aux vents contraires de la Ligue 2. Leur passion indéfectible a été récompensée par une saison remarquable qui a vu les Verts retrouver leur lustre d’antan en décrochant la promotion. Ce retour en Ligue 1 n’est pas seulement une victoire sportive; c’est aussi un symbole de résilience, une preuve que les valeurs de ténacité et d’union chères au club et à ses fans restent le socle de la réussite.

L’accession a été une opération charnière, montrant que les Verts ont la capacité de rebondir et de se réinventer. Les joueurs, anciens et nouveaux, dirigés par un staff technique impliqué et compétent, ont démontré tout au long de la saison une détermination sans faille, concrétisant leurs efforts par des résultats concrets sur le terrain qui ont ravi tout un peuple vert.

Une ère nouvelle avec Kilmer Sports Ventures

Après la joie de la montée, c’est un changement de cap stratégique qui caractérise aujourd’hui l’AS Saint-Etienne. La vente du club au groupe canadien Kilmer Sports Ventures promet de transformer la gestion et la vision du club. Cette transaction d’envergure ouvre les verts sur de nouvelles perspectives, notamment une dynamique de développement plus international et un potentiel investissement solide pour soutenir la croissance et les ambitions du club. Kilmer Sports Ventures réputé pour son investissement compétent et rigoureux dans le monde sportif, semble être le partenaire idéal pour perpétuer et grandir l’héritage de l’ASSE.

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Les dessous des tentatives de vente précédentes

Bernard Caïazzo, historiquement intimement lié à l’AS Saint-Etienne, a récemment partagé un éclairage cru sur les raisons pour lesquelles des tentatives de vente antérieures avaient échoué, en particulier celles impliquant 777 Partners et David Blitzer. Selon ses dires, les échecs passés tiennent autant à la complexité des négociations, à la recherche de fonds conséquents qu’à l’alignement des visions pour le futur du club. Il souligne que les parties prenantes ne parvenaient pas à un consensus sur les valeurs fondamentales et les objectifs à moyen et long terme, ce qui a été essentiel pour sceller le deal avec Kilmer Sports Ventures.

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